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Vos questions et nos réponses

Retrouvez vos questions et vos contributions.

David

Bonjour,

Lors de la rencontre autour des enjeux environnementaux du projet, il a été annoncé que le raccordement électrique par RTE serait financé à deux tiers par Tiamat, le tiers restant étant financé par de l’argent public.

Pourrez-vous préciser à combien s’élève le coût total de ce raccordement?

Cordialement

Gilles

Bonjour, j’ai sur ma maison individuelle des panneaux solaires en autoconsomation

Est-il possible de rajouter des batteries au sodium pour stocker l’électricité non consommer le jour et le consommer la nuit et à quel prix.
Merci pour votre réponse.

Isabelle

Bonjour,

Concernant les matières premières, dans la documentation sont bien explicitées les économies de lithium, cobalt, nickel et plomb avec ces batteries Sodium-ion, économies évaluées en tonnes.

Toutefois dans cette même documentation il n’est pas fait mention de la quantité de matériaux nécessaires à la fabrication, à savoir le tonnage en oxyde de vanadium, acide phosphorique, fluorure de Sodium, aluminium. Est-il possible de partager ces quantités ?

En outre, que savons-nous des conditions d’extraction dans les pays de ces matériaux : Chine, Russie, Brésil et Afrique du sud ou encore Guinée ? Ces matières premières sont-elles extraites dans des conditions sociales et environnementales plus acceptables que le nickel ? La mention de la Russie comme potentiel pourvoyeur pose question.

Merci par avance de vos réponses.

T I A M A T

Bonjour Madame,

Pour des raisons de confidentialité, nous ne pouvons partager les éléments de notre nomenclature. Néanmoins, concernant l’Oxyde de Vanadium, ce dernier est principalement obtenu en retraitant les magnétites titano-vanadifère, sous-produit de l’exploitation du minerai de fer, c’est pour cela qu’on retrouve dans la liste des pays producteurs, les principaux pays exploitant le minerai de fer. A ce jour, on estime la provenance de l’oxyde Vanadium comme suit : Chine 56%, Russie 11%, Afrique du Sud 10%, Brésil 7%.

La consommation de Vanadium (sous sa forme Oxyde de Vanadium) est principalement destinée à la métallurgie (91%), aux alliages non-ferreux (4%), à l’industrie chimique (3%) et au stockage de l’énergie (2%). Les perspectives de croissance sont tirées par deux facteurs en particulier : le secteur de la construction en Chine, marqué par une évolution des normes vers des aciers plus riches en vanadium, et le développement de batteries à flux redox et Sodium-ion base Vanadium-Phosphate.

TIAMAT consommera un oxyde de Vanadium issu principalement du traitement de sous-produit de l’exploitation du minerai de fer comparativement aux quantités de Lithium, Cobalt, Nickel et plomb majoritairement obtenues par extraction minière primaire.

Les autres composants, tel que l’aluminium par exemple, sont majoritairement des commodités qui sont partagées avec la technologie lithium-ion.

Eric

Bonjour,
Afin d’émettre un avis éclairé sur le projet, je me permets de vous poser quelques questions :
Quelle quantité d’eau l’usine consommera-t-elle quotidiennement, et quelles mesures seront mises en place pour réduire et recycler cette eau ?
Avez-vous identifié des filières spécifiques françaises pour le recyclage des batteries Sodium-ion ? Comment garantirez-vous une gestion transparente de ces déchets ?
Quels produits chimiques seront utilisés dans le processus de fabrication, et comment éviterez-vous les risques de pollution atmosphérique ?
Quels dispositifs précis prévoyez-vous pour protéger la biodiversité locale, notamment les espaces naturels proches comme les bois du Canada et de Gentelles ?
Comme le site sera classé Seveso, quelles mesures sont prévues pour protéger les riverains en cas d’accident industriel majeur (incendie, explosion, fuite de produits chimiques) ?
Quelle augmentation du trafic routier quotidien est attendue (nombre de camions, horaires, itinéraires exacts) ? Comment limiterez-vous les nuisances sur les RD 167, RD 935 et RD 934 ?
Comment garantirez-vous que les emplois bénéficieront aux habitants locaux ? Comment collaborerez-vous avec les structures locales de formation professionnelle ?
Quelles seront les retombées économiques concrètes pour le tissu local (commerces, artisans, fournisseurs) ?
Quel impact aura le projet sur la valeur des biens immobiliers environnants, et quelles garanties sont apportées aux propriétaires concernés ?
En attente de vos réponses,
Cordialement,

T I A M A T

Bonjour Monsieur,
Vous trouverez ci-après la réponse à vos différentes questions.

Consommation d’eau
Les besoins en eau couvriront trois principales utilisations :
  • le processus de fabrication des électrodes de la batterie, notamment pour produire l’eau déionisée utilisée dans les encres aqueuses nécessaires à la fabrication des anodes,
  • le nettoyage des équipements,
  • et les usages sanitaires.
    Au global, la consommation en eau à terme après déploiement de toutes les tranches industrielles est estimée à 180 000 m3/an. Il s’agit d’une estimation en phase d’avant-projet sommaire. L’usine de TIAMAT sera reliée au réseau d’eau public
    Conscient des enjeux que représente la nécessaire préservation de la ressource en eau sur le territoire et plus globalement au niveau planétaire, TIAMAT étudie les faisabilités technologiques envisageables pour réduire sa consommation en eau.
    En ce sens, TIAMAT souhaite adopter de nouvelles technologies pour réduire sa consommation en eau. Plusieurs méthodes de réduction de la consommation en eau sont étudiées :
  • Privilégier des systèmes de refroidissement par air plutôt qu’à partir d’échangeur à eau,
  • Mettre en place un système de circulation d’eau fermé et autonome dans l’usine,
  • Prévoir la construction d’un réservoir d’eau
  • Mettre en place un système de traitement des eaux pluviales avec un séparateur hydrocarbures et un système de récupération d’une partie des eaux pluviales pour le besoin en eau des sanitaires. Pour cela, TIAMAT étudie la possibilité d’intégrer un système de collecte des eaux de pluie (réservoir) dans la conception environnementale de son projet pour permettre la collecte des eaux de pluie.

    Recyclage des batteries
    TIAMAT travaille avec des partenaires de recyclage européens et des fournisseurs de matériaux pour développer les meilleures techniques de recyclage des batteries Sodium-ion. TIAMAT cherche à maximiser son approvisionnement en provenance d’Europe et à installer des activités de recyclage également en Europe.
    TIAMAT se conforme au nouveau règlement de l’Union Européenne, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2026. Celui-ci exige que chaque batterie électrique produite sur le marché de l’UE puisse comporter une « carte d’identité électronique » incluant toutes les données relatives au cycle de vie de la batterie : de la production jusqu’au recyclage. TIAMAT s’inscrit dans ce cadre.

    Produits chimiques et risque de pollutions atmosphériques
    Certaines étapes du process de fabrication sont susceptibles d’émettre des rejets atmosphériques (vapeurs, solvants, poussières, etc). La fabrication de la cathode utilisera notamment comme solvant le NMP. A noter que 80% du solvant NMP consommé proviendra d’une filière de recyclage en cours de développement.
    Les rejets atmosphériques feront l’objet de traitements appropriés, (filtres de poussières, condensation des vapeurs de solvants et laveurs de gaz, filtres charbon actif, etc) afin de réduire les émissions atmosphériques et de respecter les valeurs limites d’émissions réglementaires. Les meilleures techniques disponibles seront retenues le cas échéant. Ces rejets atmosphériques seront surveillés en permanence.

    Impact sur la biodiversité locale
    Le site d’implantation est situé au niveau du secteur sud-est dans la zone d’aménagement de ZAC Jules Verne 2. Il n’est pas situé dans une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), ni dans une zone Natura 2000 tant selon la directive Oiseaux qu’Habitats, ni une zone d’importance pour la conservation des oiseaux (ZICO), ni une réserve naturelle nationale, ni n’est concerné par un arrêté de protection de biotope.
    Les bois du Canada et de Gentelles ne sont pas impactés par le projet. Seul le bois du Grassouillet sera impacté par le projet. TIAMAT compensera les effets du projet sur le bois du Grassouillet par la mise en place de zones de restauration et de préservation à proximité du site : compensation par la création d’un espace boisé de surface équivalente à celle du bois du Grassouillet au nord de l’autoroute A29, située au lieu-dit Sainte-Marguerite. La création de cet espace boisé s’intégrera dans un ensemble forestier plus vaste et permettra la mise en place d’aménagements et d’habitats favorables au développement de la faune et de la flore habituellement présente sur le territoire (hérissons, papillons, oiseaux, chauves-souris).
    Des dispositifs favorisant la biodiversité, tel que des hôtels à insectes, mangeoires, nichoirs en bordure de site, seront également installés.

    Site Seveso
    Le site ne devrait pas être classé SEVESO, classement qui sera confirmé lorsque les caractéristiques précises de l’usine, notamment en ce qui concerne les capacités de stockage seront définies. En effet, le site ne met pas en jeu des composés repris par les rubriques 4000 dans des quantités déclenchant la classification Seveso seuil haut et également seuil bas (tant par effet direct que par cumul).

    Trafic routier
    Le trafic journalier de poids lourds généré à terme par le projet est estimé à :
  • En moyenne 22 camions de type semi-remorque standard par jour (hors dimanche, l’approvisionnement se faisant 6 jours de la semaine sur 7) pour alimenter l’usine en matières premières,
  • En moyenne 9 camions de type semi-remorque standard par jour (hors dimanche, l’expédition se faisant 6 jours de la semaine sur 7) pour expédier les cellules de batteries produites par l’usine. Ces estimations seront affinées dans le cadre des études à venir. TIAMAT souhaite travailler avec la CCI Hauts de France et Amiens métropole (instance compétente en matière de mobilité) pour que ces dernières apportent les éventuels aménagements du réseau routier afin de fluidifier le trafic routier si nécessaire.

    Emplois et retombées économiques locales
    Le projet, à terme, générera un potentiel d’emploi de plus de 2000 personnes. Traditionnellement, les emplois de techniciens, chefs d’équipe et plus largement liés à la production, qui représentent 80% des effectifs, viennent d’un rayon de moins de 50 km par rapport au lieu où ils travaillent.
    TIAMAT travaille en étroite collaboration avec les acteurs institutionnels du territoire en charge de l’emploi (France Travail, DRIEETS, CAP emploi, missions locales) afin d’accompagner et de favoriser l’insertion des demandeurs d’emplois et des personnes du bassin d’emploi local. L’accès aux emplois TIAMAT est rendu possible par la candidature directe des intéressés mais également par le biais de programmes de formation spécifiques de ces populations (dispositifs France Travail etc.). Sur l’aspect formation, TIAMAT est en contact avec les centres de formation locaux comme les établissements scolaires (Université Jules Vernes, Lycée Edouard Branly…) afin de les accompagner au développement des programmes de formation et de montées en compétences des lycéens et étudiants pour leur permettre la meilleure intégration professionnelle possible sur les futurs emplois de la filière (production, exploitation, maintenance, logistique…)
    Au-delà, outre les 2 000 emplois directs créés grâce au projet, celui-ci génèrera des emplois indirects liés l’activité des fournisseurs et des sous-traitants (contrats de maintenance externes, les services de transport et de logistique, les services généraux) et des emplois induits (activité induite par la consommation générée par les emplois directs et indirects). Le tissu économique local en bénéficiera sans que nous sachions à ce jour en quantifier l’impact
    Nous ne pouvons pas estimer l’impact que va générer l’activité de TIAMAT sur la valeur immobilière des biens environnants.
  • Retrouvez vos contributions

    Valérie

    La promesse d’emplois (facile à dégainer dans une zone sinistrée sur le plan industriel comme la Somme) ne saurait compenser la déperdition inéluctable de la qualité de vie des habitants du secteur, sur tous les plans (utilisation de la ressource en eau, bétonisation du site, circulation routière, risque d’accident etc.). Par ailleurs, nous l’avons encore vu récemment à l’aune de la coupure géante en Espagne et au Portugal, la voie du tout-électrique est tout sauf notre avenir. Sur un réseau déjà instable, on vint greffer de plus en plus d’éléments énergivores alors qu’un seul mot peut résumer à lui seul l’unique voie qui permettra de sortir de ce cycle infernal qui ne bénéficie qu’à quelques-uns au détriment de tous les autres : la décroissance.

    T I A M A T

    Bonjour Madame,

    Qu’on le veuille ou non, les usages que nous adressons existent (protection électrique de datacenter en cas de coupure, outillage électroportatif, etc. La solution TIAMAT permet d’en optimiser l’empreinte carbone grâce à sa puissance en charge et en décharge qui permet d’installer moins de capacité par rapport à la même solution en Lithium-ion.

    De plus, la solution TIAMAT contribue à l’électrification des usages, notamment de la mobilité (hybridation) et donc à la décarbonation.

    David

    Bonjour,

    Amiens Métropole vise l’autonomie énergétique du territoire en 2050, c’est-à-dire dans 25 ans.

    Dans cette perspective, depuis plus de 10 ans, la somme des énergies produites localement (renouvelables et de récupération), qui ont parfois demandé de gros efforts, sont parfois exemplaires (réseau de chaleur), et ont fait l’objet de nombreuses communications, représenterait près de 350 GWh annuels produits, soit 5,5% des consommation totales d’énergie actuelles d’Amiens Métropole.

    En 10 ans, au prix d’efforts importants, en agissant a priori sur les leviers les plus évidents, on a avancé concrètement de 5,5%.

    Et Tiamat, avec plus de 400 GWh annuels, consommerait davantage que tout ce qui a été mis en oeuvre jusque là en matière d’énergie produite localement.

    Pour se prononcer sur l’opportunité du projet de Tiamat, il serait utile de savoir s’il compromet l’objectif d’autonomie énergétique fixé par Amiens Métropole. Et si l’objectif est maintenu, il serait utile de savoir comment le projet sera intégré à la feuille de route amiénoise pour l’atteindre. Parce que cela semble compliqué.

    Cordialement,

    T I A M A T

    Bonjour Monsieur,

    TIAMAT a sollicité Amiens Métropole, qui est l’instance compétente sur la feuille de route énergétique du territoire. Je vous prie de bien vouloir trouver ci-après la réponse d’Amiens Métropole.

    L’objectif d’autonomie énergétique du territoire en 2050 visé par la communauté d’agglomération Amiens Métropole figure dans la feuille de route approuvée par le conseil communautaire de mai 2019. Ce document n’est pas un plan d’action, il ne prétend pas dessiner le paysage énergétique de demain et n’a pas de caractère prescriptif. Il avait pour ambition de sensibiliser les acteurs du territoire aux enjeux de la transition énergétique appliquée à la maille territoriale et de formaliser la trajectoire à emprunter et les efforts à mener pour trouver un point d’équilibre entre la consommation énergétique et les capacités locales à répondre à cette consommation.

    Il faut également remarquer que depuis l’adoption de cette feuille de route, l’avenir du système électrique français a considérablement évolué pour intégrer les nouvelles stratégies énergétiques européennes et nationales, en intégrant en particulier l’objectif de réindustrialisation accéléré des territoires sur plusieurs filières stratégiques, dont celle des batteries. Non seulement le développement de ces nouvelles filières est indispensable à la transition énergétique, mais il génère également des opportunités en termes de création d’emploi et d’activité sur les territoires. Etant donné le faible contenu carbone de l’électricité produite sur le territoire français, la stratégie nationale bas carbone s’appuie sur un développement important des usages électriques, en substitution de consommation d’énergie fossile (décarbonation de l’industrie et électrification des véhicules notamment). RTE a prévu, dans ses scenarios prospectifs et dans ses schémas des développements des infrastructures, ces nouveaux besoins de consommations électriques. En parallèle on observe depuis quelques années déjà une forte décrue des consommations de gaz naturel sur le territoire.

    David

    Bonjour,


    En p.30 du dossier de concertation, les 6000 GWh annuels consommés par Amiens Métropole concernent les consommations d’énergie totale, pas seulement l’électricité. En considérant que l’électricité représente le quart des consommations énergétiques totales, la consommation à terme de Tiamat représenterait près de 28% de la consommation électrique actuelle, pas 7%. Pour se faire une idée, sur la base du bilan carbone du mix électrique national actuel, cela représente plus de 20.000 tonnes d’équivalent CO2 émis chaque année par le projet pour ses seules consommation d’électricité, ce qui n’est pas négligeable en termes d’émissions de gaz à effet de serre (55g eqCO2/KWh x 426 GWh).

    Seconde erreur relevée, s’agissant de la compensation au déboisement du bois du Grassouillet. Une telle compensation fait partie intégrante du projet : si cette compensation est bien décrite en p.58, elle devrait aussi figurer sur les simulations de vues aériennes du projet, en p.2 et 12 par exemple, ainsi que sur la vue encadrée présentée en réunions publiques, et sur les vues diffusées par les médias. Son oubli laisse supposer que la compensation a peu d’importance ou n’est pas réellement actée. Pourtant, la suppression de ce boisement représente l’impact le plus important du projet sur la biodiversité locale.

    Cordialement

    T I A M A T

    Bonjour Monsieur,

    Le ratio de 7% est en effet à ramener à la consommation énergétique du territoire. Cependant, RTE a étudié la possibilité d’alimenter l’usine en électricité et a confirmé cette possibilité sans peser sur la sécurité d’approvisionnement en électricité du territoire. A noter par ailleurs qu’à l’échelle de la Région Hauts de France, la production régionale d’électricité est de 52,4 TWh pour une consommation totale régionale de 46,7 TWh (cf Essentiel 2023 – Bilan Electrique Hauts-de-France).

    Par ailleurs, l’intensité carbone de la production d’électricité française est de 21,7 gCO2eq par kilowatt-heure produit sur l’année 2024, en constante baisse (cf bilan électrique 2024 de RTE page 90 22052025-Bilan-electrique-2024-rapport-complet.pdf).

    TIAMAT pourra ainsi être alimenté avec une électricité largement décarbonée contribuant à la fabrication de batteries avec une faible empreinte carbone. Ces batteries contribueront elles-mêmes à la décarbonation des usages.

    Enfin, les vues d’architecte simulent la future usine sur le terrain qu’elle va occuper. Elles auraient certes pu mentionner la compensation au niveau du Bois Marguerite. Néanmoins, cette compensation sera bien mise en oeuvre.

    Benjamin

    J’ai eu l’occasion de rencontrer des représentants de Tiamat à Glisy, dans la galerie marchande, afin d’échanger autour de leur projet de construction d’une usine sur la commune de Boves. Cette rencontre m’a permis de mieux comprendre l’ambition de Tiamat, tant sur le plan industriel qu’environnemental, et de découvrir les grandes lignes architecturales et techniques du futur site.

    Ce projet représente une excellente opportunité pour le tissu économique local, et en tant qu’entreprise implantée à proximité directe du futur chantier, nous voyons en cette initiative une perspective de dynamisation pour notre territoire.

    Lors de cet échange, j’ai présenté MÉTALLERIE 2000, notre société spécialisée dans la conception, la fabrication et la pose de structures métalliques. Forts de notre savoir-faire, de notre réactivité et de notre ancrage local, nous serions fiers de pouvoir mettre nos compétences au service de ce projet structurant.

    Nous remercions les équipes de Tiamat pour leur écoute et leur ouverture, et réitérons notre volonté de contribuer activement à la réussite de cette implantation industrielle prometteuse.

    Benjamin Pilniak
    Commercial
    MÉTALLERIE 2000

    T I A M A T

    Bonjour Monsieur,

    Nous vous remercions pour votre retour positif.

    Consultez tous les documents de la concertation

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